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 Assassin’s Creed : Brotherhood, quand le nombre devient une arme…

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Chris36

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Chris36

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MessageSujet: Assassin’s Creed : Brotherhood, quand le nombre devient une arme…   Assassin’s Creed : Brotherhood, quand le nombre devient une arme… Horlog10Ven 14 Jan - 16:03

Il est des héros qu’on aime voir et revoir, charismatiques à souhait et forcément attachants, ils marquent souvent notre imagination. Ezio Auditore da Firenze est de ceux-là et Assassin’s Creed 2 nous avait permis de vivre l’ascension de cet adolescent volage en un adulte accompli, assassin de son état.

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Même si on pouvait craindre que la petite année de développement de ce Brotherhood n’entache la réputation d’excellence de la série, on ne pouvait que se réjouir de retrouver notre bellâtre italien dans une nouvelle aventure.Plongé dans les intrigues de l’Italie Renaissante, Ezio était parvenu à vaincre ses ennemis et à retrouver un semblant de paix à Monte Reggioni. Malheureusement, celle-ci est de courte durée et les boulets des Borgia viennent très vite secouer les murs de la villa Auditore en même temps que la vie de ses occupants lors d’une scène mémorable. Obligé de fuir, Ezio décide de plonger dans la gueule du loup afin de combattre les Borgia là où ils se trouvent, à Rome. Le décor est planté, les acteurs peuvent entrer en scène dans le plus grandiose des paysages.Un décor peuplé de têtes connues
puisque l’on retrouve Machiavel et Léonard de Vinci qui, avec l’appui d’autres alliés, viendront en aide à Ezio tout au long de l’aventure afin de libérer la ville éternelle de l’emprise des Borgia. Cette domination se matérialise par une série de tours qui dominent les différents quartiers de Rome. Pour annihiler l’influence néfaste des Borgia, il vous faut éliminer le capitaine de la tour et détruire cette dernière. Vous pouvez ensuite, acheter les boutiques à proximité et ainsi rendre progressivement à Rome une partie de sa splendeur et à Ezio des revenus non négligeables afin de poursuivre le combat. Car, cette fois, la gestion ne se limite plus à la villa de Monteriggioni, mais à tous les quartiers de Rome qui auront été au préalable libérés. Gestion économique donc, mais pas seulement. En effet, la ville est parsemée de foyers de résistances où des citoyens se révoltent, en les aidant, vous avez la possibilité de les recruter afin de les former et de les envoyer en mission partout en Europe pour qu’ils deviennent de véritables assassins. À tout moment, Ezio pourra faire appel à ses recrues afin d’éliminer des cibles indésirables. Ces éléments densifient encore un peu plus l’expérience de jeu, si bien qu’on se surprend à délaisser
quelque peu la trame principale afin de tenter de découvrir tous les trésors et les mystères que cache la ville de Romulus. Pourtant, le déroulement de l’histoire est haletant même si on peut regretter des baisses de rythme et des redondances par rapport au précédent épisode.
On aurait également aimé voir l’histoire de Desmond Miles mieux traitée et plus riche en révélations. Mais ne boudons pas notre plaisir, la partie solo reste d’une richesse incroyable promettant de longues heures de jeux pour qui veut bien s’y investir.Notre héros a également
perfectionné sa maîtrise au combat puisqu’il peut à présent enchaîner les exécutions, déstabiliser ses ennemis et, bien entendu, faire appel à ses recrues pour éliminer ses adversaires. Ceux-ci ne se contentent d’ailleurs plus d’attendre leur tour pour vous attaquer, le danger peut désormais venir de tous côtés ce qui apporte plus de dynamisme aux affrontements. Toutefois, c’est bien là le seul progrès fait par les ennemis dont les réactions sont toujours aussi peu crédibles. Il n’aurait pas été inutile que les développeurs se penchent un peu plus sur l’amélioration de l’intelligence artificielle qui reste désespérément au ras des pâquerettes.Heureusement, on pourra cette fois mesurer nos talents d’assassin face à de véritables adversaires grâce au mode multijoueur, LA grosse nouveauté du titre.
Quatre modes de jeux (Traque, Chasse à l’homme, alliance, Traque avancée) vous sont proposés, mais le principe reste globalement le même : chasser et être chassé. Le multijoueur parvient, d’ailleurs, à reproduire toute la subtilité du gameplay de la partie solo. Une vraie
réussite donc qui se traduit par une tension permanente ressentie par le joueur qui craint à tout moment de se faire surprendre au coin d’une rue.Visuellement, Ubisoft Montreal a encore une fois effectué un travail remarquable. C’est un véritable plaisir que de déambuler dans la
ville éternelle dont on ressent le poids des siècles à chaque coin de rue. La copie aurait été parfaite si les développeurs avaient gommé le clipping encore trop présent et quelques bugs qui viennent entacher l’expérience visuelle.Loin d’être un simple Assassin’s Creed 2.5,
ce Brotherhood apporte suffisamment de nouveautés pour être considéré comme un titre à part entière. Riche, long, intelligent et inaugurant un mode multijoueur efficace, le seul point faible du titre réside sans doute dans le fait qu’il ne propose qu’une seule grande aire de jeu même
si la taille de la cité est supérieure à ce que l’on a pu connaître jusque-là. Un gros regret cependant, celui de quitter Ezio Auditore da Firenze qui tire sans doute définitivement sa révérence. Il est temps que le rideau se lève sur un nouvel assassin. Après tout, il a quand
même bien mérité un peu de repos…
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Petatet

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MessageSujet: Re: Assassin’s Creed : Brotherhood, quand le nombre devient une arme…   Assassin’s Creed : Brotherhood, quand le nombre devient une arme… Horlog10Ven 14 Jan - 18:21

Un très bon jeux également ! Laughing
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Assassin’s Creed : Brotherhood, quand le nombre devient une arme…

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